Marcelo Bielsa a quitté l’ Olympique de Marseille et quelles qu’en soient les raisons, il est temps d’en dresser le bilan.

L’Argentin est arrivé sur la Canebière avec une réputation sulfureuse et le moins qu’on puisse dire, c’est qu'il a mérité son surnom d’El Loco. De son premier jour jusqu’à la défaite face à Caen, Bielsa a attiré sur lui tous les regards. Le sien, les journalistes ne l’ont jamais réellement vu, la tête continuellement baissée, il a traversé la Ligue 1 de génie héroïque pour les uns à traître manipulateur pour les autres.

Des débuts prometteurs

Un mois à peine après son arrivée, il torpille son président dans une conférence de presse surréaliste, où El Loco exprime son mécontentement sur le recrutement olympien, dont il aurait été mis à l’écart. Doria, acheté pour 7 millions d’euros, ne sera jamais aligné par Bielsa ... l’Argentin est têtu. Pas très professionnel comme comportement, mais les supporters du Vélodrome sont conquis et prennent son parti. Sur le terrain, le football pratiqué est offensif et séduit la Ligue 1. Marseille trust la première place et finit champion d’automne, devant l’ennemi juré de la capitale. Un air frais souffle sur le championnat.

Un mois d’avril catastrophique

Comme un symbole, le match face à Paris au Velodrome, perdu 3-2, sonne la fin de la suprématie Marseillaise. L’OM enchaîne 4 défaites de suite et laisse le PSG s’envoler vers le titre. Un flot de critiques s’abat sur le technicien argentin: son dispositif tactique basé sur un marquage individuel tout terrain désuet et sa gestion minimaliste de l’effectif agacent, dérangent. La dégringolade au classement amène Bielsa et ses hommes à la quatrième place, ils finissent au pied du podium derrière Lyon et Monaco et ne se qualifient pas pour la Ligue des Champions. L’OM ne remporte aucun titre après des éliminations prématurées dans les coupes nationales. Voilà le bilan sportif de Bielsa.

Son avenir, il s’inscrit en pointillé, Bielsa n’est pas clair sur sa volonté de continuer. Les supporters marseillais font tout leur possible pour le convaincre de rempiler, leur soutient inconditionnel virant à l’adoration.

Un véritable formateur

Finalement, ça ne suffit pas, et El loco ne fera qu’une saison et un match à l’OM. Il a tout de même le mérite d’avoir amené une dose de rigueur et de discipline là où il en manquait cruellement. Son style atypique n’a laissé personne indifférent, mais ses qualités d’entraîneur sont indéniables, et les résultats obtenus avec l’effectif dont il disposait constituent un véritable exploit. Les jeunes marseillais ont progressé et l’impact que Bielsa a eu sur eux se verra dans l’avenir ... mais la patience n’est pas une vertu marseillaise, les prochains mois seront donc difficiles.

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Bielsa Démissionne!

Marseille se réveille avec la gueule de bois: dans la nuit, l'annonce le départ de Marcelo Bielsa de son poste d'entraineur de l'Olympique de Marseille, a fait l'effet d'une bombe.

Bielsa mis à la porte!

Bielsa, dans une lettre adressée à Vincent Labrune, indique qu'il quitte son poste juste après la défaite face à Caen. El loco s'en va pour des raisons contractuelles. On apprend que mercredi une réunion a eu lieu entre l’entraineur, l'avocat de Margarita Louis-Dreyfus et le directeur général du club. Au cours de ces échanges la direction Marseillaise à indiqué les nouvelles conditions qu'elle souhaitait voir signées par Bielsa, qui les refuse et démissionne samedi sans que le résultat du match n'ait d'importance.

A la lecture de cette lettre, on ne peut que s'interroger sur le comportement des dirigeants de l'OM. Lorsqu'on signe la prolongation de son entraineur, qui est la véritable star de Marseille, plus qu'aucun autre joueur, est-ce normal que ni la propriétaire ni le président ne soient présents. Ensuite, alors que tout semblait acté depuis début juillet, un avocat, sorti de nulle part,  modifie à la dernière minute les conditions qui semblent essentielles à la continuité de l'argentin ... cela est incompréhensible. Devant un tel manque de respect et de confiance affiché par la direction (Margarita Louis Dreyfus), la seule explication possible est celle de faire démissionner Bielsa. Cette démission est en réalité un licenciement à moindre coût.

Labrune abasourdi

Vincent Labrune se dit "abasourdi" par le départ de son entraineur, mais cela sonne faux. Il n'y a que deux hypothèses:

-Soit Labrune n'était pas au courant de la situation et dans ce cas il devrait lui aussi démissionner, car ce serait la preuve qu'il n'est qu'un prête nom qui occupe le poste de président.

-Soit il était parfaitement au courant et là, il prend tout le monde pour des cons.

Dans les deux cas, ses jours sont comptés à la tête de l'Olympique de Marseille.

Qui pour le remplacer?

Avec le départ de Bielsa, la Ligue 1 s'appauvrit encore! L'argentin est l'un des meilleurs entraineurs du monde, il est différent mais il est compétent. Et ça, les supporters Marseillais l'ont bien compris. Dès le mois de mars on à vu fleurir les banderoles "Bielsa no se va" dans les tribunes du Vélodrome, et son nom est scandé avec plus de force et d'ardeur que nul autre. Bielsa est irremplaçable pour Marseille!

D'ailleurs, qui voudrait venir en lisant cette lettre? L'Olympique de Marseille est un club dirigé par des amateurs incapables de respecter leurs engagements (c'est en tout cas ce qu'il en ressort).  Aucun étranger à la Ligue 1 c'est une certitude, on va faire du neuf avec du vieux ... c'est aussi ça la Ligue 1.

Pour venir dans ces conditions,il faudra du courage au prétendant, tant le Vélodrome est un volcan au bord de l'éruption. C'est peut être fou qu'il faudrait être ... mais le seul fou génial, l'OM s'en est débarrassé.

Pour Franck Passi l’intérim sera difficile.

Marcelo Bielsa a donné sa démission juste après la défaite de l'Olympique de Marseille contre Caen ce samedi au stade Vélodrome.

Il annonçait pourtant, samedi matin, que son contrat était quasiment signé et que seuls quelques détails restaient à peaufiner avant l'officialisation de la prolongation. De nouveau, l'Argentin surprend tout le monde en démissionnant.

C'est une très mauvaise nouvelle pour l'OM et Vincent Labrune. En effet, cela ressemble même à un coup bas porté à la direction olympienne, car à moins d'un mois de la fin du mercato tout est à reconstruire. Les "Bielsa no se va" n'ont pas suffi à le retenir, et sur un dernier coup de folie, "El Loco" abandonne le club et son président qui va passer des heures difficiles, sachant que son départ va retarder profondément la saison marseillaise.

La raison de de ce départ : la modification des conditions de son contrat souhaitée par la direction olympienne. Il assure avoir pris sa décision mercredi soir.

Bielsa devrait rebondir au Mexique très rapidement.

Enfin, c’est reparti

Si depuis deux mois, tu appuis frénétiquement sur les boutons de ta télécommande à la recherche désespérée d’une émission qui ne soit pas « les arnaques de l’été » ou un film du début des années 2000, qui repasse à la télévision pour la millième fois, soit rassuré, ce soir ton calvaire est enfin terminé !

Enfin, tu as le sourire sur la route du travail, en imaginant déjà les conversations enflammées que tu auras à la machine à café, ou les commentaires acerbes que tu posteras sur Facebook ou Twitter.

Au contraire, pour ta femme, si elle a le mauvais goût d’avoir l’art du ballon rond en horreur, commence une longue période remplie de soirées de solitude, dans le meilleur des cas, et dans le pire, de nuits à t’entendre hurler avec tes potes lors d’un but ou d’un penalty non sifflé.

Depuis le 6 juin dernier, et la finale de la Ligue des champions, tu n’as quasiment rien eu à te mettre sous la dent. Certes, il y a eu la Copa America, mais, entre nous, un Pérou-Paraguay à trois heures du mat' ça ne t‘a jamais fait rêver. La Coupe du monde féminine, a eu le mérite de prouver à ton petit côté macho que le football n’est pas qu’un sport d’homme et tu ne peux pas nier que le spectacle proposé au Canada a été de très bonne facture. Mais était-ce suffisant ? Honnêtement, non !

Tu vas me dire qu’il y avait les matchs amicaux, mais soit réaliste, un match en bois joué à l’autre bout du monde représente à peine une saucisse cocktail. C’est bien peu pour rassasier ton appétit insatiable de puriste. Tu t'es même surpris à regarder un match sud-américain tard dans la nuit. Heureusement, les matchs aller-retour de Ligue des champions et de League Europa t’ont sorti de ta torpeur, et désormais, soyons clairs, tu as la « dalle » de foot.

À partir de 20 : 30 ce soir, et jusqu’à la fin de l’Euro 2016 en juillet prochain, rien n’arrêtera la machine football. Et d’ici peu, tu perdras le compte des heures passées assis confortablement dans ton canapé, devant 22 bonhommes qui poussent une « baballe ».

Parce que tu es comme un drogué en manque, je ne te fais pas languir plus longtemps, et je te souhaite très sincèrement une excellente soirée devant PSG-Lille.

Le tirage au sort a livré son verdict et les Monégasques seront opposés au FC Valence. C'est le pire tirage pour l'AS Monaco qui aura tout de même l'avantage de jouer le match retour à domicile.

C’est aujourd’hui que va avoir lieu, à midi, le tirage au sort des barrages de la Ligue des Champions. Monaco sera opposé à une tête de série, mais c’est bien le club de la Principauté qui fait figure d’épouvantail de ce tirage.

    L’adversaire le plus abordable :

Le Sporting Lisbonne a fini troisième du dernier championnat portugais et apparaît comme l’équipe la plus accessible.

Pourtant, l’ASM devra se méfier de cette équipe en pleine reconstruction. En effet, l’arrivé de Jorge Jesus, entraineur habitué aux joutes européennes, vient donner du crédit au Sporting. Du côté du recrutement, les Lisboètes se sont renforcés à moindre coût, mais avec des joueurs expérimentés (Teo Gutierrez, Brian Ruiz, Alberto Aquilani), qui viennent encadrer des jeunes issus du centre de formation.

Être méfiant oui, mais craintif certainement pas ! Intrinsèquement, Monaco est supérieur au Portugais à tous les niveaux. Autre avantage, Jardim connaît parfaitement le Sporting, qu’il a entrainé avant de signer sur le rocher. Enfin, la blessure de William Carvalho, qui est la plaque tournante du milieu de terrain des Leos, constitue une perte irremplaçable.

Probabilité de se qualifier : 80%

    Les clubs que Monaco peut éliminer :

Le Bayer Leverkusen et les Monégasques se sont affrontés l’an dernier dans le groupe C de la Ligue des Champions.

Au cours de ces deux rencontres Monaco s’était imposé par la plus petite des marges à l’aller comme au retour sans encaisser de but.

Cet été le Bayer s’est renforcé avec notamment le retour de prêt du champion du monde Krammer, mais les départs de Drmic et de Castro deux éléments incontournables lors de l’exercice écoulé n’ont pas vraiment été compensés.

Pour se qualifier, le bloc défensif de l’ASM devra faire preuve de la même rigueur que l’an passé, car les Allemands sont joueurs, mais si c’est le cas, la vitesse des attaquants monégasques fera la différence.

Probabilité de se qualifier : 70 %

Le Shahktar Donetsk est un club à ne pas prendre à la légère, pour les raisons suivantes :
Premièrement parce que les Ukrainiens qui, ont repris le championnat le 17 juillet, sont en avance sur leur préparation.

Ensuite, le Shakhtar est en forme : ils sont invaincus depuis le début de saison, n’ont encaissé qu’un seul but, et ont étrillé les Turcs du Fenerbahce 3-0 à domicile lors du tour précédent.

Enfin, les joueurs de Lucescu évoluent dans le même schéma tactique que les Monégasques et ont les mêmes caractéristiques que les joueurs de Jardim.

Toutefois, la rouste infligée au Shakhtar par le Bayern l’an dernier (7-0) est encore dans toutes les mémoires et l’ASM a largement la capacité de se qualifier face au club de Donetsk.

Probabilité de se qualifier : 65 %

    L’ASM devra batailler :

Manchester United est le plus grand nom des clubs pouvant être opposé à Monaco.

En effet, sur la scène européenne, les Red Devils ont remporté trois Ligue des Champions. Les spécialistes voient d’ailleurs les Mancuniens comme le club à éviter. Cependant, depuis le départ d’Alex Fergusson il y a deux ans, le flamboyant navire mancunien amputé de son capitaine ressemble de plus en plus à une galère. Le recrutement à plus de 120 millions d’euros de l’été 2014 laissait envisager un retour au sommet, mais en réalité United à atteint difficilement la quatrième place de la Premier League. La raison principale de ces difficultés est défensive et malgré les arrivée combinées de Schneiderlein et Darmian, l’axe central est encore trop friable.

En ce qui concerne l’attaque, Manchester est bien mieux armé, le trio Rooney, Januzaj et Depay fait forte impression, mais l’ASM, dont la défense n’a pas bougé jusqu’à présent, a prouvé qu’elle ne redoutait personne.

Aucune victoire n’est facile à obtenir en ligue des Champions et encore moins lorsqu’on affronte Manchester, mais Monaco va marquer, c’est une certitude ! Et si son bloc est bien en place, cela devrait suffire.

Probabilité de se qualifier : 60 %

Finalement, le club à éviter, c’est Valence.

S’il est vrai que le club Che ne brille plus sur la scène européenne depuis un long moment, l’arrivée du milliardaire Peter Lim a changé la donne. Avec ses millions d’Euros, le club valencian s’est constitué une équipe très compétitive, avec un recrutement bien mené, principalement au Portugal. Ce recrutement a été rendu possible grâce à un certain Jorge Mendes qui est bien connu à Monaco.

Autre similitude, l'entraineur de Valence est portugais et talentueux. Nuno a réussi en une saison à concrétiser le projet monté par Lim. D’ailleurs, la presse ibérique a unanimement fait l’éloge du jeu mis en place par l’entraîneur. À noter la victoire en fin de saison face au Real Madrid qui a empêché le club madrilène de lutter pour le titre.

Valence est donc le club jumeau de Monaco en Europe, il possède les mêmes qualités et logiquement la balance est à l’équilibre entre ses deux formations.

Probabilité de se qualifier : 50 %

Voici une liste de onze joueurs qui débarquent en Ligue1, dont on ne connaît rien ou presque, mais qui pourraient rapidement devenir des acteurs majeurs de notre championnat  :

    1.Kevin Trapp (PSG)

Le gardien du PSG pour l’exercice à venir est allemand. Arrivé de l'Eintracht Francfort contre une somme de 9,5 millions d’Euros, il est titularisé par Laurent Blanc, reléguant Sirigu au banc de touche. Ce jeune gardien (25 ans) bénéficie déjà d’une très bonne réputation en Allemagne, le journal Kicker l’ayant classé quatrième meilleur gardien de la Bundesliga en 2015 devant Neuer. Belle référence.

    2. Milan Gajic (Girondins de Bordeaux)

Venu compenser le départ de Mariano, Gajic est déjà champion du monde ! En effet, il remporte cet été, au poste de latéral, la coupe du monde des moins de 20 ans avec la Serbie. Il compte 46 matchs de championnat serbe avec l’OFK Belgrade à seulement 19 ans. 

    3. Karim Rekik (Olympique de Marseille)

Il signe à Manchester City à l’âge de 14 ans et enchaine les prêts, notamment au PSV en 2013 et 2014. Il est l'un des grands artisans du titre de champions des Pays-Bas obtenu en 2015, et compte une séléction. Solide défensivement, bon relanceur, Rekik a tout pour s’imposer dans le cœur de la défense phocéenne.

    4. Pedro Mendes (Stade Rennais)

Mendes a été formé au Sporting du Portugal, qui le prête au Real Madrid où il apparaîtra une fois en Ligue des Champions. À 24 ans, le défenseur central découvre son cinquième championnat (Portugal, Espagne, Suisse, Italie). Il vient pour s’installer dans la durée à Rennes après sa saison la plus accomplie du côté de Parme. Avec l’aide de Montanier, il pourrait enfin devenir plus qu'un éternel espoir.

    5. Javi Manquillo (Olympique de Marseille)

Peut-être le plus connu de la liste. Formé à l’Atletico Madrid, le latéral droit était déjà désiré par Bielsa l’an dernier, mais avait choisit Liverpool où il a été prêté pour deux saisons. Plus souvent sur la touche que sur le terrain, il rompt son contrat avec les Reds avant d'être de nouveau prêté à l'OM. Manquillo vient à Marseille pour engranger du temps de jeu avec en ligne de mire l’Euro 2016.

    6. Seko Fofana (Sporting Club de Bastia)

Parti très jeune à Manchester City, le natif de Paris était très courtisé en ce début de mercato (OM, Caen, West Brom, Sunderland). Il choisit finalement Bastia pour confirmer une excellente saison du côté de Fulham en deuxième division anglaise. À n’en pas douter, une excellente addition au milieu de terrain bastiais.

    7. Farès Balhouli (AS Monaco)

Encore inconnu il y a un mois, Balhouli bénéficie d’une notoriété soudaine qui n’est pas lièe à ses qualités de footballeur. En effet, son transfert de Lyon à Monaco a fait couler beaucoup d’encre puisqu’une nouvelle fois l’ASM est allé chercher une pépite directement au sein du centre de formation lyonnais. Comme dans le cas de Martial, Jean-Michel Aulas n’a pas réussi à retenir son joueur, certainement trop couvé par l’OL. Mais ne vous y trompez, pas Balhouli est un bon joueur, voir même un très bon joueur. Numéro 10 à l’ancienne, le jeune Farès a encore besoin d’apprendre, il ne sera pas titulaire cette saison, mais avec les quatre compétitions que doit disputer Monaco, il aura du temps de jeu.

    8. Mario Pasalic (AS Monaco)

Jeune croate de 20 ans, international à deux reprises, Pasalic est prêté à Monaco par Chelsea. Titulaire et déjà buteur en Ligue des Champions face à Berne, il est le remplaçant désigné de Kondogbia. Élégant balle au pied, toujours très bien placé, il est un parfait complément à Moutinho. Celui que l’on compare déjà à Ballack, pourrait devenir l'un des meilleurs milieux de ligue 1.

    9. Ivan Cavaleiro (AS Monaco)

Comme Pasalic, Cavaleiro est déjà titulaire et buteur avec Monaco en Ligue des Champions. International Portugais formé au Benfica Lisbonne, Cavaleiro est l’archétype de l’ailier Portugais dans la lignée des Figo, Quaresma, Ronaldo ou encore Nani. Vif, dribbleur, son sens de la percussion et sa vitesse vont faire des ravages sur les terrains de Ligue 1.

    10. Kolbeinn Sigthórsson (FC Nantes)

Le football islandais est en pleine mutation, barragiste lors des éliminatoires de la dernière coupe du monde, L’Islande est en tête de son groupe dans les éliminatoires de l’Euro 2016, devant les Pays-Bas. Cette embellie, Sigthorsson n’y est pas étranger comme l'indiquent ses 17 buts en 29 sélections. À 25 ans, il est un bon buteur avec 35 buts marqués en 106 matchs joués avec l’Ajax Amsterdam. Il rejoint les canaris pour redynamiser la pire attaque de Ligue 1 la saison dernière. Son adresse devant le but et son excellent jeu de tête vont faire du bien à Nantes.

    11. Guido Carillo (AS Monaco)

Les nostalgiques de David Trezeguet vont être ravis ! Guido Carillo est sur le plan du jeu, le sosie de Trezegol, un renard des surfaces et un goléador très bon de la tête, comme il l’a prouvé avec son but à Berne, une minute seulement après son entrée en jeu. Courtisé par Porto, Marseille et l’Inter, il a été séduit par le projet monégasque. Dans un registre totalement différent de celui de Martial, il est une option supplémentaire pour Jardim face à des défenses très physique.